Hourra, Joie, cris et hurlements

Ce weekend end nous nous sommes rassemblés. Non pas dès Potron minet pour faire la queue et visiter l'Élysée. Non, nous en famille, la grande, celle qui réunit oncles et tantes, cousines et cousines - bref - une cinquantaine pour fêter un cinquantenaire. Je ne sais pas ce que je retiendrais le plus, du Madison ou d'Ennio Morricone, du palmier géant couvert de choux et de nougatine, du campement géant organisé pour la soirée, ou des enfants qui au milieu des cris et des rires ont commencé par une course endiablée pour se défouler, continué en faisant les pieds au mur et aux arbres, vécu des histoires déchirantes de coup de foudre et de déception amoureuse brutale ou du maquillage au beurre noir de l'oeil de ma princesse depuis hier. De la joie, des cris et des larmes, j'en ai eu tout mon saoul pour la semaine. A coté, l'envie d'apercevoir la chemise rose du président m'aurait semblé bien vaine.

Plan du site